FINAL PRESENTATIONS / UE BORDER FORENSICS
Event details
| Date | 17.05.2023 |
| Hour | 13:30 › 17:00 |
| Speaker | Students of the Border Forensics -UE Course. Eva Aman, Lara Rebecca, Enzo Fontanella, Eddy Friedli, Paul Giamberini, Arthur Gigon, Patrick Grandjean, Gloria Leuenberger, Malin Locher, Esteban Lorenzo, Constant Riolo, Hadrien Savioz, Maja Waliczek. |
| Location |
SG ATRIUM
|
| Category | Exhibitions |
| Event Language | French, English |
Les territoires, les architectures et les expériences incarnées du dispositif d'asile suisse.
L’unité d’enseignement “Border Forensics” initie les étudiant•e•s aux méthodes scientifiques et spatiales permettant de documenter, contester et atténuer les formes de souffrance et de violence liées à la gestion des frontières. Alors que le paysage idyllique de la Suisse est traversé par de multiples frontières pouvant affecter particulièrement les personnes requérantes d'asile ainsi que les personnes racisées, l’unité d’enseignement s’est concentré cette année sur l’analyse du dispositif d’asile suisse, ses espaces, ses temporalités, les formes de souffrances qu’il génère ainsi que son impact sur la santé des personnes requérantes d'asile.
Les étudiant•e•s ont été amené•e•s à expérimenter de nouveaux outils et approches pour l'analyse et la transformation des frontières disséminées à travers le territoire helvétique. Ces méthodes sont basées sur des techniques de recherches développées par l’agence Border Forensics en collaboration avec le laboratoire ALICE. A cela s'ajoutent les méthodes d’analyses spatiales du laboratoire LASIG et des analyses sociales exploratoires développées par le laboratoire LASUR.
À travers trois niveaux distincts mais interconnectés – le territoire, l'architecture et le corps – les étudiant•e•s se sont intéressé•e•s plus largement à la façon dont les frontières et les limites sociales se matérialisent dans les environnements urbains, dans quelles mesures elles peuvent avoir un impact sur la relation des personnes et leurs corps avec ces espaces et les façons dont elles peuvent être transformées pour offrir différents potentiels.
Que ce soit à travers le développement d’un index d’(in)accessibilité aux services de bases pour les personnes requérantes d’asile, l’élaboration de cartes retraçant le parcours migratoire avant et après l’arrivée en Suisse, la visualisation statistique de l’impact sur la santé du dispositif d’asile ou encore la mise en image de récits sur le rapports des personnes aux différents espaces du dispositif d’asile, une variété de méthodes ont été expérimentées tout au long du semestre et ont participé à rendre visible les formes de violence du dispositif d’asile suisse et ont permis d’esquisser des pistes de transformation afin d’y mettre un terme.
L’unité d’enseignement “Border Forensics” initie les étudiant•e•s aux méthodes scientifiques et spatiales permettant de documenter, contester et atténuer les formes de souffrance et de violence liées à la gestion des frontières. Alors que le paysage idyllique de la Suisse est traversé par de multiples frontières pouvant affecter particulièrement les personnes requérantes d'asile ainsi que les personnes racisées, l’unité d’enseignement s’est concentré cette année sur l’analyse du dispositif d’asile suisse, ses espaces, ses temporalités, les formes de souffrances qu’il génère ainsi que son impact sur la santé des personnes requérantes d'asile.
Les étudiant•e•s ont été amené•e•s à expérimenter de nouveaux outils et approches pour l'analyse et la transformation des frontières disséminées à travers le territoire helvétique. Ces méthodes sont basées sur des techniques de recherches développées par l’agence Border Forensics en collaboration avec le laboratoire ALICE. A cela s'ajoutent les méthodes d’analyses spatiales du laboratoire LASIG et des analyses sociales exploratoires développées par le laboratoire LASUR.
À travers trois niveaux distincts mais interconnectés – le territoire, l'architecture et le corps – les étudiant•e•s se sont intéressé•e•s plus largement à la façon dont les frontières et les limites sociales se matérialisent dans les environnements urbains, dans quelles mesures elles peuvent avoir un impact sur la relation des personnes et leurs corps avec ces espaces et les façons dont elles peuvent être transformées pour offrir différents potentiels.
Que ce soit à travers le développement d’un index d’(in)accessibilité aux services de bases pour les personnes requérantes d’asile, l’élaboration de cartes retraçant le parcours migratoire avant et après l’arrivée en Suisse, la visualisation statistique de l’impact sur la santé du dispositif d’asile ou encore la mise en image de récits sur le rapports des personnes aux différents espaces du dispositif d’asile, une variété de méthodes ont été expérimentées tout au long du semestre et ont participé à rendre visible les formes de violence du dispositif d’asile suisse et ont permis d’esquisser des pistes de transformation afin d’y mettre un terme.
Practical information
- General public
- Free
Organizer
- Charles Heller, Elio Panese, Stanislas Michel, Estefania Mompean Botias.
Contact
- Estefania Mompean Botias